vendredi 30 octobre 2009

Burkina Faso: Ecoles des handicapés

Le vidéo montre une enquête sur la scolarisation des enfants handicapé. Dans Burkina Faso, un pays plus pauvre de la planète, aller à l’école est une rêve pour des enfants aveugles; sourds; muets et handicapés. Souvent les enfants handicapés sont cachés. Alors il y a des écoles spécialisés qui sont fondés par des ONGs pour ces enfants.


Mais les écoles manquent des techniciens comme des orthophonistes, des psychomoteuristes et cetera, parce que ils manquent des moyens de rémunéré des techniciens.


Leur autre difficultés sont le système éducatif avec des classes qui sont surchargés et la compétence des enseignants qui sont mal-équipés pour satisfaire des besoins spécifique des enfants handicapés.


En Inde dans les grandes villes, il y a des écoles spécialisés et bien équipés pour des enfants handicapés. Mais dans les villages il y a des même difficultés comme à Burkina Faso.

On peut faire des dons à des ONGs pour que ils peuvent avoir des techniciens, élargir des écoles et former des enseignants.


mercredi 28 octobre 2009

La critique de 8 Femmes

Huit Femmes est un mystère musical. Ce film est une adaptation de la pièce de théâtre de Robert Thomas, mais ce n’est pas bien exécuté parce qu’il manque des scénarios. Il montre seulement deux ou trois salles de la maison.


Ce film montre la relation entre les huit femmes. Les meufs se disputent beaucoup mais conduisent à l’amitié. Tous ne sont pas comme il semble. Quand le film progresse, au fur et à mesure, les secrets du huit femmes sont révélés. Le rythme est excellent mais les chansons le coupent. Les chansons n’ont ni queue ni tête.


Les scènes sont bien réalisés. Les acteurs aussi jouent prodigieusement bien. Les huit gonzesses sont belles et bien tenues.


Même si le réalisateur François Ozon a gagné le prix de Lumière en France pour ce film, il a déçu nos attentes. Ces 2 heures du film vous laisseront indifférent.

jeudi 15 octobre 2009

La peine de mort

Non. Je ne pense pas que la peine de mort devrait abolir dans Inde.


S’il y a un crime qui est fait sans réfléchir, ou dans légitime défense, ça ne mérite pas la peine de mort. Au contraire, le criminel doit réfléchir sur son crime et il doit se rendre compte que ce qu’il avait fait c’était un crime grave.


Dans une prison, il perd sa droite de faire ce qu’il veut. Il perd sa liberté. Il est stigmatisé pour le restant de ses jours. La réclusion lui punir suffisamment.


Mais selon moi, s’il y a un crime prémédité, inhumain et bien planifié, il mérite la peine de mort. On ne doit pas laisse vivre par exemple, des mafioso et des terroristes.


Si on ne tue pas ces criminels, leur camarades peuvent faire chanter le Gouvernement pour leur libération. Ils peuvent détourner des avions comme ils ont fait à Kandahar.


mardi 6 octobre 2009

26/11/2008

Le soir, 26 Novembre, 2008. Malayesh allait se marier la semaine prochaine et il a fait une soirée pour l’enterrement de vie de garçon à ses collègues Gaurav et Saurabh. Ils sont allés au Café Leopold.


Une demie heure plus tard, les terroristes ont tiré sur Malayesh et Gaurav. Saurabh a téléphoné à son chef (mon mari) tout de suite. Mais mon mari était déjà rentré chez nous à Santacruz et il n’a pu pas y aller. Il y a envoyé quelques personnes du bureau pour lui aider.


Le lendemain, quand mon mari a pu y aller, il a passé toute la jour en cherchant les cadavres de Gaurav et Malayesh dans les hôpitaux, obtenant leurs autopsies, informant les familles et cetera. Et moi, j’ai passé tout le temps devant la télé regardant tous les images dérangeants. Pour beaucoup de jours plus tard, j’était secouée par l’expérience.


C’est la vie. Des trois personnes assises à la table, deux sont morts et la troisième est saine et sauve.

Les citoyens et la guerre contre le terrorisme

Je suis allée aux états-unis le premier fois à octobre, 2000. Une année avant 9/11. Je suis retournée aux états-unis, le deuxième fois à mai, 2001. Quelques mois après 9/11.


Quel difference j’ai remarqué entre les gens dans les deux fois! Ils étaient amicaux en 2000 et aussi en 2001. Mais il y avait une difference. En 2001, tous les personnes que j’ai interagi avec, étaient amicaux bien sûr, mais avec beaucoup de politesse, ils ont extrait plein d’informations des étrangers. D’où viennent-ils? Pourquoi ils étaient aux étas unis? Combien de jours ils vont séjourner là?...


Si ils avaient trouvé quelque personne louche ou quelque chose suspicieux, ils pourraient donné l’alarme. Tous étaient vigilants. Du chauffeur de taxi au guichetier. Du concierge à la personne à côté de vous dans un queue. Tous.


Comme eux, tous les citoyens des tous des pays peuvent être vigilants et peuvent participer dans la guerre contre le terrorisme.